Apocalypses ou le 8 ème roi

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M- la seconde Bête dans... le Palais du Magicien...

lundi 13 janvier 2014

Long comme le temps — lourd comme les choses
— profond comme ces instant ou le « je » cesses...,
où c’est Lui * qui décide de jouer avec toi... (* Elle / EL...).

TEXTE - Comme dirait à peu près saint Paul, la science moderne,
(notre seconde Bête...), d’abord démesurément étendue en « longueur »,
ne vas pas tarder à s’étaler en « largeur »,
au point de donner l’illusion de la « profondeur »...

La « longueur » se déploie selon un axe on jurerait mathématique...,
mais en fait de plus en plus réduit à toutes sortes de calculs...,
donc de plus en plus parodique du trop peu entendu
 J’ai Créé toutes choses avec mesure, nombre, et poids ...

La « largeur » tendant du reste à diminuer cette « longueur »...
Nous avons nommé, via les données fournies par la méthodes expérimentale,
la quantification (au détriment d’Idées dégénérées depuis Euclide...)
modifiant les modèles, recherchant "la puissance brute",
dont procéderont les appareils scientifiques...

D’où la production proprement industrielle, d’objets censés compenser la perte à peu près totale de la troisième dimension, nous voulons dire « la profondeur »...,

Perte passant à peu près inaperçue, du fait de
l’effort colossal déployé en coulisses, pour faire croire à la supériorité
de notre civilisation (la première Bête...), dans ce domaine...

Impliquant de jeter bas, détruire, enfin éradiquer puis remplacer,
par un Occultisme éléphantesque...(en tête de gondole, maçonnique...),
tout ce que la propagande de nos aveugles, de nos sourds, de nos muets...
présente comme superstition, religion, techniques archaïques de l’extase...

En d’autres termes, le christianisme latin n’étant pas en reste,
en ce qui concerne sa participation plus ou moins consciente
et surtout très intéressée... à cette infernale duperie...,
les « mystiques naturelles »...
(1)

Alors que le moindre sorcier, sourcier, rebouteux de campagne,
en sçait plus que tout les programmes dit métapsychiques,
couverts par un Secret défense plus que jamais marqués au front et à la main ...

Secrète Défonce...

Un enfant voit pour la première fois, mettons un papillon Vert (métallique) du Brésil..
Sa mère dit, ceci « est » un papillon... Revenu en France, fertile en ténèbres...,
l’enfant s’interroge sur l’absence de ces papillons, oiseaux-mouches, Arbres géants...

Dont les fleurs permettent de toucher les fabuleuses étoiles des mers du Sud...

Soit donc un peu de cette poudre d’Or qui fait scintiller les papillons...

Le savant travaillé par l’imposture prélève, prépare son échantillon,
le soumet à son cyclope favori, lequel agrandit, grossit...

Jusqu’au moment ou le merveilleux grain de cette poudre apparaît
comme un objet informe, ce qu’il fallait démontrer...

Son collègue analyse et décompose cette poudre, de façon à prouver
quelle n’est au fond « que » du chlore du zinc et autres bromures...
(autant prouver, en découpant à la hache, puis en nourrissant le poêle,
que n’est que du Bois..., la jolie commode en bouleau de Carelie...).

Un troisième dérangé..., établit la filiation avec les alligators ou les archéoptérix...

C’est à dire qu’il noie le Poisson..., Dagon, le monde subtil (2)....

Les choses, les êtres sont ... accessibles aux sens, Première dimension ; Ils deviennent, mais c’est ici qu’intervient la Deuxième dimension,
d’où procède l’énergie comme le Pouvoir de transmuter des éléments...

Dont le scientifique ne sait rien, que l’expert en manipulation mentale défigure,
que le mystique, ce sous-produit d’un ésotérisme chrétien parfaitement dégénéré... appréhende dans les tourments, que l’occultiste singe, ou barbouille,
où « l’adepte » des drogues patauge en attendant de se noyer...

Vient enfin la Troisième dimension, qui transcende ce... champ de forces,
où naviguent toutes sortes d’êtres, qui n’ont que faire des « progrès de la science »,
et dont la manifestation est toujours proportionnelle aux déséquilibres
que l’homme introduit dans le Cosmos...

Troisième dimension, dont la présence, l’immanence..., se manifeste par
la quête du sens de tout cela ; la vie la mort, « voyez la Merveille »...

― Wise, Wisdom ― Word, Sword ― Wind, Window―

La dimension subtile n’est pas exactement
ce qui dépasse les capacités sensorielles communes...

Aussi la remplacer par les bacilles ou les ondes radio, ou encore les agrandissements optiques ou pseudo-optiques d’une matière qui, aussi loin que l’on pousse sa purification ou ces agrandissements, demeure plus que jamais « évanouissante » (comme dirait le XVIII siècle...), c’est encore se leurrer...

Mais le mensonge, des paradigmes aux vulgarisations tout azimuts, n’est il pas la condition nécessaire de cette colossale entreprise de désinformation que représente, eu égard à tout ce qu’elle nie..., Ampute..., notre fameuse science moderne ???

« Expliquez » la pensée, la vie, la conscience, par les neurones ou les protons, l’évolution ou l’astrophysique..., alors que la béance est totale entre la poussière atomique et la matière telle que la connaisse et manipule les ingénieurs...,
est encore une imposture...

Les manuels scolaires en sont plein... Que dire alors des magazines scientifiques...

Le Monde subtil est au demeurant infiniment plus ordonné que le cristal,
plus informé que tout ce que peuvent concevoir les débiles théoriciens
des « théories de l’information »...

Pour qui une lettre se ramène à la composition de l’encre et la texture du papier...

Pour donner un idée de cette dimension subtile...,
disons qu’elle ressemble beaucoup en toute première approche
à ces merveilleuses petites fioles des apprentis chimistes
des années non encore pollués par la Télé, la B.D la "Techno",
et autres consoles de jeux...(3)

L’enfant versait dans un petit récipient un liquide transparent,
ajoutait une autre goutte d’un liquide tout aussi transparent et voici,
oh enchantement que tout virait au rose, au vert ou à l’orange..

La différence avec le monde subtil c’est que la Totalité de toutes les … « transparences » possibles se trouve là, du tout premier instant...

De sorte qu’il suffit au Créateur (ou a ses Anges...) de prononcer le « mot » Coquillage, qui en tant que Spirale est déjà présent au fond de toutes les galaxies...

La Spirale de la nébuleuse n’est pas encore déterminée... Celle du Coquillage, qui servira à former la cochlée, autre prodige.... est en trois dimensions....

Ouvrez un traité de mathématique où l’on calcule par le menu un polygone à 17 côtés, comptez le nombre de pages.. Extrapolez au Coquillage, qui servira à former la cochlée de l’oreille interne...

Concevez alors l’imposture des scientifiques exigeant de plus en plus d’argent, d’appareils, de publications, pour ramper à quatre pattes dans le Palais du Magicien...

Maintenant enquêtez, épluchez, calculez le coût de ce culte, appareil par appareil, crédit par crédit de cette science comme religion...

A combien revient, en fait de sacrifices.... la destruction du biotope, terres cultivables, forêts, fleuves, Eaux souterraines...

Phèresbios...


(1)-Ce qui après tout est compréhensible de la part d’une Eglise ayant réussi le prodige de ruiner, ne fut-ce que dans l’ordre intellectuel, tout ce qui renvoyait au surnaturel proprement dit (les protestants feront le reste...)

(2) – On retrouve ce « Dieu » ou plutôt cet habitant du pays de Sidh, ou Tzeu, Tzadé ou Tchitchen Itza... dans l’art des Lettres, qui sous forme hébraïque développe le G en ― 3,4,3 ― et le D, en ― 4,3,4 ― ce qui fait God ou Dog, comme diraient à peu près les chevaliers bâtisseurs..., dont un Henry Corbin chercha la trace au bout du monde...et René Guénon chez Stretton, en bon "initié" ignorant le B à Bà de cette géométrie...

(3)- Relevant, dans une législation normale..., des la catégorie des stupéfiants... Comme leurs fabricants, tout spécialement des war-games... d’organisation criminelle en intelligence avec l’Ennemi...