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L-De quelques ouvrages...
jeudi 19 août 2010
Ouvrages, écrits, revues et livres..., vont et viennent au Castel des Vents..., un peu comme les algues, que la marée dépose, que l’on récolte pour en extraire la soude..., ou que l’on foule..., tout simplement...
Voici un J.Dumont qui en dit long sur l’O.P.A des protestants sur l’histoire « universelle », « les riches toujours plus riches, les pauvres toujours plus pauvres » (1).
Cela remonte, pour l’Angleterre, à Henri VIII, mais cela est masqué, notamment par la propagande maçonnique, historiquement au service exclusif de la City..., avec ses prolongements occultes...
Vous savez « la centrale d’Energie »..., Buchanan & Cie..
Du coup les Montaldo sont repartis chez Emmaüs..., dont les soldes voient débarquer tout ce que la Ville compte de plus distingué..., friqué, suave... Cherchant vaguement, dans quelque objet ancien, un peu plus de réel, un peu moins de mensonges...
Difficile..., pour toute une génération grassement établie, après avoir pendant des lustres dansé le « kazatchok »..., mais convertie au CAC par la grâce de la "kabbale"...(2)
Sans pour autant percevoir le sens de la Zone, le non-sens des Zones, dites industrielles..., de ces volumes grossiers où des industriels acéphales, vous fourguent des objets de plus en plus triviaux..., mais dont la sophistique évoque on ne sait quel cauchemard pour Martiens...
De quelque Oméga de science, de technique, où le jeu vidéo aurait une fois pour toutes remplacé les loches, mouches..., lézards et coccinelles...
Où les cannes en carbone ne font plus rire personne, pas plus que les escadrons de pompes, sandales, bottines et goddilots, censés compenser la perte de tout lieu-dit, Forêt, chapelle, pélerinage...,
de tout pied menu, charmant, de tout Visage...
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Car les moches ont envahi les rues, et tôt se fannent les petits d’homme, engouffrés, broyés, dans les Meules muettes et monstrueuses....
Du journal à l’écran, de plus en plus magique, tragique..., de la radio à la Fête, du crabe et du cochon..., folklores éclatés par quelque Mur de Son...
Pour enfants-roi devenu sourds..., ados fiévreux et lourds, si peu virils parfois, à dix huit ans..., que l’inversion leur parait chose toute naturelle...
Les filles, fringuées d’asile.., fument, boivent...Beaucoup de cul, très peu de charme...prennent la pillule, avortent grave...
En proportion de l’immaturité, comme de la sécheresse de leurs émois..., moi, moâ, toâ et moâ..., et surtout de l’angoisse, presque panique..., du futur « père »,
Evoquant, « Génie » en moins..., ray-ban, bermus et tout tondu..., tel personnage de Huxley...
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Obscur reflet du Politique, où de petits poissons voraces voisinent avec des Reptiles plus conséquents..., déguisés en créatures de Rêve...
Progrés, Science, Démocratie..., Anti-racisme, une drogue douce..., anti-sémite on crie au Loup...(2,toujours...)
Qui rigole, en gentille infirmière..., rassurante, maternelle, distribuant à tour de bras ses biberons, pour grands énarques retombés en enfance...,
Méditant sur quelque Haïku, sans jamais s’aviser du mètre...
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Les « poche » sont restés, à la demande d’Aurore, qui de Balzac passe à Miller... (« le colosse de Maroussi »...), devenu incompréhensible...
C’est que les civilisés ne sont déjà plus qu’une poignée...
Mais comme il n’y à rien de mieux à faire C. propose à A. toute de Vert vêtue..., de rééquilibrer ce gros karmique de Miller, fou de la Grèce, par « la bataille de Scutari... » des frères Jérôme et Jean Tharaud...(3).
Un peu plus tard, à propos des « histoires du Bon Dieu » de Rilke, (curieux travail ou flottent, sans jamais vraiment fusionner, des inspirations totalement hétérogènes...)(4).
Mais où sont donc partis ces européens ?? si fins, si subtils, si fragiles, dans leur mélancolie...
Clèbs lui lit « comment la trahison est venue en Russie », fait remarquer à son Amie l’homologie avec telle histoire taoïste, conclut, « sans doute les nestoriens » au sens du Vieux Chat, bien sûr...
Celle qui termine le recueuil [« histoire racontée à l’Obscurité »] laisse Clèbs tout songeur, vu le contraste...
Il résume, Elle rit...« en somme une histoire d’ex... », mais de nouveau quelle finesse, quel parfum...
Clèbs ; « essaie donc de parler de Dieu ou seulement de l’âme, et tu verras nos imbéciles, imbibés de toutes les pestes..., t’exploser l’urine de leurs amours et les excréments de leurs rancoeurs »...
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Cette sortie met Aurore « aux doigts de rose », en joie...
Comme toutes celles qui enroulent le temps autour de leur Navette, l’Amie de la Vie, toujours présente au Soleil..., va des « Tintins » aux confitures, du jardin à la couture, prodiguant toute son attention, à la grand-mère, au Chat, au potiron...
Qui a poussé la-bas dans le terrain sans nom..., ce qui est rare à le campagne, et qui se meurt de soif...
« tu te rends compte, malgré la sécheresse, il nous fait l’honneur d’une Fleur magnifique... », corvée d’Eau...
Tout un être au monde, une présence, qui lui valent au Marché, cet ennemi des grandes surfaces..., ces petits cadeaux dont sont prodigues les Simples, qui comprennent très bien que c’est une Phée...
« regarde-moi cette Tomate ! ! ! »
Un monstre transgénique (au naturel, rassurez-vous...) tout plissé, jaune brouilleux, un peu verdâtre, fait au moins un kilo..., parfaitement invendable...
En cette saison où débarquent d’un peu partout les parigots, toujours plus rongés, chauves, pas drôles, excités, au parfum... Rongés de gaz sans formule chimique...respirés à pleins poumons dès Europe Un...
« plastinka adin, i adin bulka... » (5).
« Un feuille jaunie, tremblante, s’abat soyeuse sur le monde. Un sort... » (6).
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(1)-« l’Eglise au risque de l’Histoire », Critérion 1982...
(2)- CAC 40 comme la pie voleuse (çoroka voroka), la Grande Illusion étant qu’une conversion (au capitalisme), fut-elle sincère..., remontant à la chute du Mur, exonère l’intellectuel (toujours en poste...) des années passées à empoisonner la psyché collective, de toutes les fragrances venus du Froid...
d’une immigration dopée par l’Avarice des employeurs et l’Imbécilité des politiques..., à la méthode globale, du bac pour tous obligatoire et gratuit...à une mise, toute niponne..., des cadres sous pression..., d’une délocalisation à flux tendus (qui sous ses airs benoits achève de ruiner les forces vives de l’Occident...), à une barbarisation du sensoriel qui va de la mode à la musique, du langage (« inchoatif »...) à la « Fête », du « sexe », au total manque d’égards avec les vieux..., sans parler du Paysage, des promoteurs tout béton, transports, rond-points, bitume...
de tout cela nul compte n’est demandé à... « Personne »..., et surtout pas aux imbéciles, toujours plus gras..., la main sur la « Shoah » (un « produit » qui rapporte...).
(3)- grand reportage, qui s’élève jusqu’au géopolitique, affligera J. de Romilly, et fera peut être réfléchir Sarah Pallin, avant la prochaine guerre balkanique...
(4)- « les mains du Bon Dieu » c’est de la kaballe, suit tout un délire, typiquementt catholique, sur la Passion..., l’instituteur, simplet, laïque... etc.
(5)- Natacha, "Aperçus", "Phonèmes et morphèmes", çorok/çrok, da "Abby...ziann"...
La culture, sans vous vexez..., c’est « le pèlerin enchanté » de Leskov, les frères Tharaud, « le chemin du labyrinthe » de Daniélou, [« la philosophie des imbéciles » § société ch XIX, comme les gardiens du Feu...}.
(6)- « Bagatelles » pour dégats collatéraux...
"la dame de pique", Céline...
03-09...comme D- Les Neuf Inconnus .....
