O -condition féminine ou la Femme et le Squelette...

envoi - lien B— misogynie et monachisme., la femme (libérée...) et le squelette

la moule frite *,
la pêche cuite **,
l’âme blette,
reluquant les athlètes,
transformés en omelette,
par les gros pithèques ***,
stone, accrocs au high-tech,
sous l’égide du Squelette,qui guette...

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La condition féminine, l’esthétique... sont toujours des bons baromètres de l’état réel d’une civilisation.

Plus directement de la dégénérescence intellectuelle donc spirituelle, culturelle donc scientifique, des dirigeants ...

De façon très générale l’entrée sinon dans le Kali-Yuga,
du moins dans ses dernières phases (1), devait voir nécessairement, avec l’apparition de races de plus en plus "physiques"- une détérioration de plus en plus sensible de la condition féminine...

Races "physiques" ; les Hans, c’est très en dessous des Miaos... et le féroce Huang-Ti qui en -200 unifie, par le fer et par le feu, les féodalités chinoises, fait plus mongol, donc "barbare", que nature...

Les doriens sont très en dessous des mycéniens qui eux mêmes n’arrivent pas à la cheville des crétois...

les celtes sont tout autre chose que les brutes blondes chantées par ce gros inhibé de Nietszche, d’une timidité maladive, incapable de mettre la main au cul de cette grande salope de Salomé - Lou pour les intimes...

enfin ces chers prussiens, bo-russes, teutoniques... qui s’acharnent sur les populations de l’extrême nord, que valent-ils exactement...

Donc ; sous-doués sur le plan des facultés psychiques, ergo goût de l’action, de la mise en esclavage, du travail, militarisme forcené..., donc homosexualité...(autre raison enfermement trop poussé des belles plantes, qui fanent...)

Sous-doués de "l’intellect " (au sens René Guénon...)- culte de la logique, de la raison, c’est à dire hypertrophie de ce qui n’est qu’un moyen...

En vue d’un pouvoir ou d’un mystère...

Caché dans le Yinn...le Saule, le marais, la cascade...

A contrario les pieds consciencieusement atrophiés des chinoises, système qui se met en place avec les dynasties les plus « essentialistes », Song et Ming (2,) manifestement en totale contradiction avec le taoïsme de façade..., si tant est que « de façade » convienne à un ésotérisme aussi rugueux....

La Renaissance européenne, qui voit la mise en minorité juridique,se prolongera tout au long des siècles bourgeois, où la Raison de l’homme est sensée mettre un terme aux débordements imaginatifs des femmes et des enfants...

Question négritude, l’esclavage de la femme (sans doute surdouée psychiquement, et sans doute sexuellement...)(3), se pose un peu différemment -

enfin question monothéisme il y a bien une sorte de progrès, mais que la régression de ces spiritualités aura tendance à renvoyer à la case départ...(4)

Après quoi nous arrivons aux libérations à marche forcée menées par les modernes nous amenant, quelques décennies après 1968, à la situation résumée par le petit poème ci dessus...

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Le fond de la question, assez Abyssal faut-il le concéder (5), a trait au rapport entretenu par une culture, une civilisation, avec « le monde intermédiaire », qui peut aller de la maîtrise (on vise alors carrément à transcender tout devenir...) à la superstition (entre les deux la magie noire...).

En attendant à la négation pure et simple du monde subtil, avènement de la « raison » non sans rapport avec l’impérialisme..., enfin récupération que de ce qui n’est déjà plus qu’un résidu...

Imaginaire...(les sociétés tartinant de l’occulte, de l’alchimique, enfin de l’initiatique tout azimuts...cf Kervella, Dachez, enfin herr Bauer it self super-G.L.UE...)

D’où la fureur de fêtes qui s’empare des dynasties européennes, le déluge de romans, enfin, avec le Second avènement du machinisme, des incroyables singeries que permet « la seconde Bête » pardon, la science moderne... ;

films, musique, spectacles, programmés ad nauseum par des dirigeants parfaitement ignorants de ces mystères... 

A commencer par celui qui commande le lancement de la dite Science, basée toute entière sur une négation acharnée, dogmatique, totalitaire, du « monde subtil », réduit à des épiphénomènes que se fait fort de réduire la déesse Raison, id est « le Nombre de la Bête », en bonne kabbale schyzo par définition....(6)

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Maintenant « condition féminine » ...

Sans vouloir trop chatouiller les guénoniens, si le brahmane est le type des êtres stables, et le kshatriya le type des êtres changeants- il va de soi que c’est chez la femme, l’enfant, la bête, la Nature..., que nous retrouverons le plus haut degré de « brâââhmitude » comme dirait Kérosène (Royale...).

En cherchant la petite bête, les prodiges des ascètes, déployés pour se libérer de leur moi, sont en Ana-Logie de la la femme qui enfantant, par définition, pense à autre chose que son « moi »...

"le gouffre de la maternité" comme dit Naouri ayant pour pendant celui d’une réalisation d’autant plus acharnée, que les Clefs en sont absentes...

Et que le bouillon dans le Chaudron... est gras, vénéneux, ou obscur... Luther, ou des prodigieuse conséquences... de la manipulation de l’angoisse chez les gorets...(7)

De sorte qu’il n’est pas de tradition, fut-elle aussi macho que l’Islam, qui quelque part ne soit obligée de tenir compte de cet Envers... an-Ni-S-A "les femmes", en laissant tomber l’article, N =50, S =60, Alif =1 donc 50+60+1= 111

nombre « Polaire »...(8)

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Bon, vous êtes de vrais panthères, vous pigez vite... Passons le mur-des-cons... (rabbins, curés, mollahs et autres maquereaux...).

La prééminence de plus en plus caricaturale du masculin sur le féminin, jusqu’au renversement qui signe la dernière phase du Cycle, a pour moteur, en termes de Sorcier Yaqui, la confusion entre le Monde, et ce que les gens font ...

En plus monothéiste entre la Création et le siècle... d’où la compensation, de plus en plus névrotique et compulsive, de la distance qui sépare les êtres humains du Paradis...

Et pourtant, pour machistes que soient les monothéistes (mais le confucianisme, dans l ’épaisseur c’était pas triste du tout...)- il demeure question langues sacrées... que la différence entre le Monde et le siècle, donc la société, le progrès...

s’y trouve tout à fait marquée, sémantiquement par deux racines parfaitement distinctes ; el-Alam (Ain, Lam, Mîm) ; et ed-Dunia, qui lui comporte le temps...

D’une certaine façon ed-Dunia c’est « le Tonal », dont les limites, question jus de cervelle, d’après nos érudits (dites..), ont été mis en relief par un certain Emmanuel (??) Kant....(9)

" Comprendre", el-Aélam, étant évidemment tout autre chose que procéder par le petit bout de la lorgnette, pour dire de façon un peu désinvolte le grand paradigme galiléen...(10)

Car cela ne se peut qu’en franchissant le Pont qui sépare le Tonal du Nagual...

Ce qui sur le pan sociéthâl, demande de reconsidérer la condition féminine du point de vue alchimique..., le « Progrès » du point de vue hermétique, la religion du point de vue des mystères..

Et non d’un statut de la femme d’autant plus vicelard que le marchand obèse et jouisseur a remplacé le guerrier..

Comme celui-ci, dès le moment que disparaissent, ou se corrompent les voies menant à LA Voie..., n’est plus qu’un mâle...

D’où la fureur de jouissance, les harems pléthoriques, les eunuques, les mignons, et les barbares, pour parler à l’Ancienne...

Votez Vieux Mongols...

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